passionnée de nature,musique classique, couture à partager avec mes amie(is).Une nouvelle labrador Polka,qui a 5 ans est venue remplacer le grand blond, notre labrador mâle qui nous a quitté à l'âge de 15 ans. Bienvenue chez nous.
Comme un diable au fond de sa boîte, le bourgeon s’est tenu caché… mais dans sa prison trop étroite il baille et voudrait respirer. Il entend des chants, des bruits d’ailes, il a soif de grand jour et d’air… il voudrait savoir les nouvelles, il fait craquer son corset vert. Puis, d’un geste brusque, il déchire son habit étroit et trop court « enfin, se dit-il, je respire, je vis, je suis libre… bonjour ! » Paul GÉRALDY (Poète et dramaturge français)
Pour mieux comprendre quels sont les animaux dans le Carnaval des animaux de Camille Saint-saëns
00:31 Introduction et Marche Royale du Lion 03:01 Poules et Coqs 04:21 Ânes 05:12 Tortues 08:02 L’Eléphant 09:41 Kangourous 10:52 Aquarium 14:05 Personnages à longues oreilles 14:55 Le Coucou au fond des bois 17:27 Voliere 18:57 Pianistes 20:41 Fossiles 22:23 Le Cygne 26:11 Final
Pour ce 4ème défi de l’année il s’agit de parler de 4 titres de livres que l’on aime ou pas, qui vous ont marqué, qui vous ont déçu, de raconter une petite histoire personnelle, ou simplement de les présenter en photo, ETC….
Me sont venus spontanément en tête:
Les mains du miracle de l’inoubliable Joseph Kessel .
J’ai un faible….un grand faible….. pour cet auteur, aventurier,journaliste, grand reporter et romancier français, né en 1898 en Argentine et mort en 1979 dans le Val-d’Oise..
Les mains du miracle sont la biographie absolument authentique du docteur finlandais, d’origine Hollandaise Felix Kersten, spécialisé dans le massage thérapeutique, don qu’il avait de naissance, et qu’il avait perfectionné à Berlin auprès d’un maître chinois venu du Tibet, le docteur Kô.
Une lecture qui m’a profondément bouleversée. Un bijou à lire absolument et à relire…
Tokyo, 1938. Quatre musiciens amateurs passionnés de musique classique occidentale se réunissent régulièrement au Centre culturel pour répéter. Autour du Japonais Yu, professeur d’anglais, trois étudiants chinois, Yanfen, Cheng et Kang, restés au Japon, malgré la guerre dans laquelle la politique expansionniste de l’Empire est en train de plonger l’Asie.
Ah il s’en passait de jolies dans les abbayes, moi je vous le dis. A la fin du XVIème siècle, dans le sud de la France, la paisible congrégation de Notre-Dame du Loup rayonne et prospère grâce aux remèdes à base de simples(plantes médicinales) dont elle détient le secret.
Mais je vous en dirai plus lorsque je l’aurai terminé! En attendant je me régale et je m’amuse parmi cette communauté monastique😆
Sur ma pile à lire, Peter Hans ,l’histoire d’un alsacien pendant la guerre de 30 ans, que je n’ai pas encore commencée, et pour cause, c’est un pavé de 655pages!
Je sais aussi que je passerai plus de temps à lire qu’à jardiner, coudre et m’occuper de l’intendance à la maison!!
C’est la suite du livre de Charly Damm ,qui m’avait tenu en haleine, pendant le confinement, en Novembre 2020!
Pour le défi du 20 Mai ,les oiseaux seront à l’honneur!
La liste des nouveaux thèmes et les règles du jeu pour le projet 52-2022 sont chez Ma (clic)
Je n’allais pas manquer de vous donner des nouvelles de papa et maman cigognes perchés , loin des prédateurs, sur la cheminée d’une grange dans un village voisin!
Comme chaque année, début Février ,je les attends avec beaucoup d’impatience, et je guette le moment où la famille va s’agrandir!
Je ne sais pas reconnaitre de loin qui est en train de couver!
Ce sont les deux parents qui se relaient pour l’incubation des œufs, sauf la nuit où c’est la femelle qui couve.
Allons maintenant voir chez Ma (clic) , en suivant les liens sur ses commentaires, l’inspiration et la liste des copinautes qui participent au jeu
Comme j’avais beaucoup aimé « l’homme qui peignait les âmes« j’étais curieuse de connaitre un des plus célèbres roman de Metin Arditi .Le Turquetto.
Le point de départ de l’histoire est une note au lecteur et un rapport fictif d’analyse du Musée du Louvre remettant en cause l’authenticité de la signature de Titien
Résumé
Se pourrait-il qu’un tableau célèbre – dont la signature présente une anomalie chromatique – soit l’unique oeuvre qui nous reste d’un des plus grands peintres de la Renaissance vénitienne : un élève prodige de Titien, que lui-même appelait « le Turquetto » (le petit Turc) ? Metin Arditi s’est intéressé à ce personnage. Né de parents juifs en terre musulmane (à Constantinople, aux environs de 1519), ce fils d’un employé du marché aux esclaves s’exile très jeune à Venise pour y parfaire et pratiquer son art. Sous une identité d’emprunt, il fréquente les ateliers de Titien avant de faire carrière et de donner aux congrégations de Venise une œuvre admirable nourrie de tradition biblique, de calligraphie ottomane et d’art sacré byzantin. Il est au sommet de sa gloire lorsqu’une liaison le dévoile et l’amène à comparaître devant les tribunaux de Venise… Metin Arditi dépeint à plaisir le foisonnement du Grand Bazar de Constantinople, les révoltes du jeune garçon avide de dessin et d’images, son soudain départ… Puis le lecteur retrouve le Turquetto à l’âge mûr, marié et reconnu, artiste pris dans les subtilités des rivalités vénitiennes, en cette faste période de la Renaissance où s’accomplissent son ascension puis sa chute. Rythmé, coloré, tout en tableaux miniature, le livre de Metin Arditi convoque les thèmes de la filiation, des rapports de l’art avec le pouvoir, et de la synthèse des influences religieuses qui est la marque particulière du Turquetto.
J’aime beaucoup Metin Arditi, et l’histoire du Turquetto m’a intriguée au point de faire une petite recherche sur Wikipédia . Un peu ennuyeux par moment, ce roman historique reste captivant.
Ce second livre, un petit bijou, de Christian Signol
Résumé
. Une île sur la Dordogne. Un monde aquatique, poétique et mystérieux, propice aux rêves, un refuge. C’est là que vivent Bastien et sa famille. L’eau et la rivière sont leur univers, un paradis qui les fait vivre et les enchante, jour après jour. Mais si la guerre ne parvient pas à en briser l’harmonie, tout se dissout pourtant peu à peu, sauf le souvenir du bonheur, de l’enfance éternelle. Une histoire universelle qui évoque le Giono du Chant du monde. Jamais Christian Signol n’avait suggéré avec sensibilité et, de nostalgie la fuite du temps, le passage à l’âge adulte et la splendeur de la nature.
J’ai adoré !J’ai lu ce roman avec beaucoup d’émotion.
Chaque page est un moment de poésie, juste un petit extrait …
« je me souviens plus précisément des matins de gel, en janvier et février, quand nous avancions sous des lustres d’argent qui formaient une voûte étrange au-dessus de nos têtes, du froid qui mordait nos oreilles, du bruit de nos galoches sur le sol gelé. Au cours de cette saison -là, nous apercevions beaucoup d’animaux sauvages: des biches, des lièvres ,des renards au pelage roux, et nous découvrions la vie autour de nous plus facilement que durant les saisons de verdure. La haut, à l’école, le poêle nous attendait pour nous infliger une onglée douloureuse, mais la salle sentait le bois brûlé et le papier épais, comme chez nous, en bas, où Albine avait depuis longtemps allumé la cheminée. »